Impossible de rivaliser avec un sapin ...
Pour ébranler irrémédiablement un coeur, le Destin n'a pas toujour besoin de prendre un grand élan et de déployer une force brutale et brusque ; il semble que précisément son indomptable volonté formatrice éprouve un plaisir spécial à faire naître d'un motif futile la destruction.
Dans notre obscure langue humaine, nous appelons ce premier contact sans gravité "cause occasionnelle" et nous comparons avec étonnement son peu d'importance apparente avec les conséquences souvent formidables qui en dérivent : mais de même qu'une maladie ne commence pas avec son diagnostic, de même le sort d'un homme ne commence pas au moment où il devient visible, et où il se réalise.
Toujours, dans l'esprit et dans le sang, le Destin oeuvre intérieurement, longtemps avant de toucher l'âme du dehors.
Se connaître, c'est déjà se défendre, et la plupart du temps inutilement.
Stefan SWEIG.
Petit clin d'oeil .
Parce que ça le valait bien ...
La "Deschiens" photo de classe ...
PS : je vous attends !! :-(
(Article pour mes "copains" de bureau)
L'instant d'après le vent se déchaîne...
... J'avais dû confondre les lumières
D'une étoile et d'un réverbère
Et ça fait marrer les oiseaux qui s'envolent ...
Les oiseaux qui s'envolent ....
Les oiseaux qui s'envolent ...
Phrases extraites de "Encore" . Françis Cabrel
.... sillonner l'espace .
Le ciel n'est bleu que par convention,
mais rouge en réalité.
Alberto GIACOMETTI
... un jeu de quilles
Rester debout
Porte close s'il le faut...